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3e – Orchestre à Caen Des coulisses au spectacle 2021/22

(Comment écouter la musique savante en concert ?)

Musique savante (pas ancienne !): musique plus complexe, qui demande un savoir pour la comprendre (il faut l’étudier pour l’apprécier)

Musique populaire (pas seulement d’aujourd’hui !) : musique plus simple, facile à retenir, qui se répète, composé pour le peuple.

Exemple 2021 : « Savez-vous planter les choux…. » comptine trés POPULAIRE reprise par Black M et Gims.

2e exemple, juin 2021 : Soso Maness – Petrouchka (Clip officiel) ft. PLK 

Origines : Petrouchka = comptine russe + sur l’air de Kalinka

Problème des paroles qui font l’apologie de la drogue (+alcool et  armes) :« Dans la zone, on vend la drogue, ça fait TP, ça crie « akha »
Et dans l’hall, j’suis sous pi’, j’suis sous teh, sers la vodka
RS3, quatre cagoules, un traceur, charge le AK
Sac Chanel, elle m’donne le go, ma gadji c’est Petrouchka… »

 

Mise en place de la séquence :

1- Groupe de 3 élèves (type oral de DNB) avec des compétences complémentaires :

2- Agenda :   préparer un exposé de  type oral DNB (sujet d’Histoir des arts)  : avec un PLAN, des photos, des vidéos avec du son, dans un DIAPORAMA (sur l’ENT et sur plusieurs clés USB)

– consulter le doc : oral_2020_fiche d’évaluation ORAL DNB : documents pour les élèves (Mme Lemonnier sur ENT)

– Ziksévigné : écouter les œuvres

PRODUIRE une chanson populaire : choix libre, groupe libre (à chanter SANS LE CHANTEUR!!!)

– Pronote : 2 QCM, Oral DNB + Produire une chanson populaire

3- Présentation d’une audition  : faire écouter 1 extrait dans l’exposé !!!

Sommaire :

INTRODUCTION : présenter votre sujet et l’organisation de votre discours, le PLAN !

DÉVELOPPEMENT = PLAN

– le compositeur (rapide, l’essentiel!)

– l’œuvre à étudier : expliquer le NOM de l’oeuvre, sa forme ou structure = son organisation

– en quoi cette musique est de son époque ? (Moderne ou Contemporaine)

CONCLUSION : redire + impressions personnelles

Des coulisses au spectacle

Préparation de la répétition générale de l’ Orchestre de Caen

2021/22 : répétition générale mardi 15 mars 2022 à 11h

Concert d’ouverture du « Festival Aspects des Musiques d’Aujourd’hui »

Artistes invités : Le Trio K/D/M. Adélaïde Ferrière, Aurélien Gignoux, percussions, Anthony Millet, accordéon

Orchestre de Caen : direction Léo Warynski (chef d’orchestre)ANNONCE du CONCERT : Le Trio K/D/M est un ensemble de solistes qui investit de manière multiple le répertoire des musiques d’aujourd’hui (musique contemporaine). La souplesse de son effectif – du solo au trio – lui permet d’aborder en différents projets la littérature instrumentale du XXe siècle et du début du XXIe  siècle. Le trio développe une politique de commandes, en collaboration avec des compositeurs d’horizons différents   PROGRAMME du concert :

Martin Matalon (né en 1958)
1-K/D/M Concerto (Création européenne)
2-Wenceslao, suite orchestrale d’après l’opéra L’Ombre de Venceslao
(Création, commande du Festival Aspects des Musiques d’Aujourd’hui)

Maurice Ravel (1875-1937)
3-Le Tombeau de Couperin

Nina Senk (née en 1982)
4-Chant pour orchestre à cordes

Martin Matalon (né en 1958) Epoque contemporaine (de 1950 à nos jours)
Audition 1- K/D/M Concerto – Création européenne : Triple concerto pour 2 percussionnistes et accordéoniste solistes et orchestre de chambre.

Exemple d’oeuvre de Matalon, par le groupe KDM :

Audition 2- Création de Wenceslao : suite symphonique d’après l’opéra L’Ombre de Venceslao – 

Vidéos de l’opéra :

Dernier ouvrage lyrique de Martin Matalon, L’ombre de Venceslao adapte la pièce tragicomique du dramaturge argentin Copi, elle-même reprise en France vingt ans plus tard par Jorge Lavelli, auteur du livret et de la mise en scène. Aux accents du tango et de quatre bandonéons nous sont narrés les avatars d’une famille baroque et de son chef, véritable Don Quichotte argentin installé dans la duplicité. Colorée par un dispositif électronique en complément de l’orchestre, l’action vous plonge dans la tumultueuse forêt tropicale et la sauvage Buenos Aires rythmée par ses coups d’Etat, ses fusillades et ses créatures nocturnes. Profonde réflexion sur le temps qui dévore nos vies, cette aventure épique (?) laisse entrevoir dans son onirique (?) scène finale l’idée de liberté.

La musique contemporaine a beaucoup fait de recherches abstaites sur le son (ex : dodécaphonisme = musique atonale). L’Argentin Martín Matalon (né à Buenos Aires en 1958) utilise ces recherches de manière nouvelle où les timbres sont au service de son imaginaire coloré.

Emigré sur la côte est des États-Unis, où un certain conservatisme de l’activité musicale le laissait désabusé, il choisit de s’installer en France où la vitalité de la création musicale dominée par les noms de Messiaen, Boulez, Murail, Grisey, le fascinait. Une fois qu’il a  assimilés les nouveaux outils – et notamment l’électronique travaillée à l’IRCAM – le jeune Latino-Américain les met au service de son imagination parfois très loin du circuit musical…

La richesse de sensations naissant de deux arts complémentaires (musique et livret) s’impose chez Martin Matalon. Le son donne du relief aux mots. L’accompagnement musical (qui ne serait plus ”musique de film” au sens illustratif) donne aussi du sens à l’image. Il suggère les mots du conte.

Matalon interroge les formes brèves (où la concision contient le foisonnement) et utilise des  ”objets sonores” sur différents plans sonores. Ecouter à 5’14 !!!

Parallèlement à ces expériences, il voudrait renouveler le cadre même de diffusion du concert ”classique”. Le compositeur poursuit une exploration des timbres et des formes musicales : la série des « Traces » se concentre sur le couple formé par un instrument (ou la voix) et sa transformation électronique en temps réel. Il définit ces « Traces » comme un « journal intime compositionnel », un « voyage à l’intérieur du son », dont l’un des épisodes (Traces II pour alto et électronique) naquit précisément d’une musique conçue pour un film de Buñuel (Las Hurdes).

Le mélomane pourra tirer les sensations magiques d’un jaillissement de couleurs le transportant vers des visions poétiques, tandis que le musicien savant considérer La série des Trames  s’attache à résoudre les problématiques complexes de l’insertion ou de la confrontation d’un instrument soliste par rapport à des effectifs variés d’orchestres de chambre, ou au grand orchestre symphonique.a la complexité de la composition.

Une oeuvre pour double orchestre de Martin Matalon (création mondiale en 2018):

Remarque : musique tonale (consonnante) ou atonale (dissonnante) ?

Maurice Ravel (1875-1937) Epoque moderne début XXe
Audition 3- Le tombeau de Couperin

Composée entre 1914 et 1917, donnée en première audition en avril 1919 par Marguerite Long, la suite pour piano (voir audition 3bis) Le Tombeau de Couperin comporte six morceaux, Prélude, Fugue, Forlane, Rigaudon, Menuet et Toccata, dédiés à la mémoire d’amis tombés au cours de la Première Guerre mondiale. Ravel lui-même était un pilote de l’armée pendant la guerre.

Ravel fait une orchestration de 4 de ces pièces, entendues pour la première fois sous cette forme en février 1920 et se jouant dans l’ordre suivant :

I.0:35 Prélude. Vif : « à la mémoire du lieutenant Jacques Charlot »
II.4:17 Forlane. Allegretto : « à la mémoire du lieutenant Gabriel Deluc »
III. 11:22 Menuet. Allegro moderato : « à la mémoire de Jean Dreyfus »
IV. 16:30 Rigaudon. Assez vif : « à la mémoire de Pierre et Pascal Gaudin »

« Tombeau de Couperin » : tombeau est en fait un terme musical populaire au 17ème siècle et signifiant « une pièce écrite comme mémorial ». Le Couperin spécifique (famille de musiciens pendant environ deux siècles) que Ravel a l’intention d’évoquer, avec ses amis, serait probablement François Couperin « le Grand » (1668-1733). Toutefois, Ravel a déclaré que son intention n’était jamais d’imiter ou de rendre hommage à Couperin lui-même, mais plutôt de rendre hommage à la sensibilité de la suite pour clavier du baroque français. La structure imite une suite de danse baroque. Comme exercice préparatoire, Ravel avait transcrit un forlane (une danse folklorique italienne) de la quatrième suite des Concerts royaux de Couperin, et cette pièce invoque la structure de la forlane de Ravel. Cependant, le néoclassicisme de Ravel transparaît avec sa mélodie chromatique du vingtième siècle et ses harmonies piquantes.
Lorsqu’on lui reprochait de composer une œuvre légère et parfois réfléchie plutôt que sombre, pour un sujet aussi sombre, Ravel répondait : « Les morts sont assez tristes, dans leur silence éternel. » Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars1875Paris, 28 décembre1937) était un compositeurfrançais de l’époque moderne. Son œuvre, fruit d’une recherche obstinée de perfection et d’un héritage complexe s’étendant de l’époque Baroque aux pionniers du jazz, dénote un style original qui, après avoir participé au début du siècle du mouvement dit impressionniste, s’orienta vers un néoclassicisme plus dépouillé. Reconnu comme un maître de l’orchestration. A l’Epoque Moderne (début XXe) on cherchera de nouvelle piste sonore en utilisant plus les dissonnances, allant même vers une musique atonale (sans tonalité). La musique de Ravel, elle, restera tonale (agréable à écouté, consonnante, comme par le passé)

Tableau : Impression, soleil levant Claude Monet

soleil

Impressionisme : peinture fin XIXe siècle essayant de donner des impressions instantanées plutôt que la réalité concrète (on a l’impression que…) en utilisant des « tâches » de couleurs (= les timbres en musique = les « couleurs » des sons)

A l’Epoque Moderne (début XXe) on cherchera de nouvelle piste sonore en utilisant plus les dissonnances, allant même vers une musique atonale (sans tonalité). La musique de Ravel, elle, restera tonale (agréable à écouté, consonnante, comme par le passé)

Néoclassicisme : nouvelle musique classique. Au XXe siecle, re-composé comme à l’époque classique (fin XVIIIe)

Audition 3bis : Le tombeau de Couperin, suite pour piano

00:00 – Prelude 03:05 – Fugue 06:25 – Forlane 13:51 – Rigaudon 17:24 – Menuet 22:18 – Toccata

Remarque : musique tonale (consonnante) ou atonale (dissonnante) ?

Nina Senk (slovène née en 1982) Nina Senk – YouTube

Audition 4 – Chant pour orchestre à cordes

Ecouter et analyser l’oeuvre : on entend quoi (soliste dialogue avec l’orchestre)? On a quelles impressions ? On dirait quoi ? Pourquoi ?

ENTRETIEN AVEC NINA SENK, COMPOSITRICE

Nina Šenk étudie la composition à l’Académie de Musique de Ljubljana avant de continuer ses études à Dresde . Elle obtient son master en 2008 avec Matthias Pintscher à l’Université de Musique et des Arts de Munich. En 2008-2009 et 2009-2010, elle est compositrice en résidence pour l’orchestre du Staatstheater Cottbus en Allemagne.

Nina Šenk a reçu de nombreux prix et récompenses, notamment le prix européen de la meilleure composition au festival Young Euro Classic pour son Concertopour violon en 2004, le prix de l’Académie de Musique Prešeren et le premier prix au Festival de printemps de musique contemporaine de Weimar pour Movimento fluido en 2008.

Ses œuvres ont été jouées dans de nombreux festivals allemands et slovènes, ainsi qu’au Takefu Festival au Japon et à la New York Philharmonic Biennial.

Nina, quelles sont les sources de votre parcours de compositrice ?
Mon premier souvenir musical, c’est cette impression de puissance de la musique jouée en concert, cette manière qu’a la musique de vous prendre, physiquement, et de vous marquer jusqu’au plus profond de vous – une impression que je continue à éprouver, d’ailleurs : j’accorde une grande attention à ce qui peut toucher, de manière physique, l’auditeur, à ces gestes musicaux qui vous saisissent et vous donnent envie d’écouter davantage. C’est ainsi que je privilégie toujours, au moins localement, un caractère puissant dans ma musique.
Ensuite, ce fut le jazz : ses lignes mélodiques qui se déploient au cours de l’improvisation, et ses structures rythmiques sur lesquelles s’élabore le discours – et, là encore, des gestes, parfois très agressifs, qui vous saisissent inévitablement. J’aime les flux rythmiques qui, au contraire de tous ces rythmes flottants si courants dans la musique contemporaine, restent ancrés dans une carrure – et retombent ainsi, un moment ou un autre, sur leurs pattes. Et puis la virtuosité instrumentale et la formidable diversité des possibles à partir d’une ligne unique, interprétée par un musicien seul en articulation avec l’ensemble. Avec le temps, toutes ces inspirations se sont fondues dans un tout plus vaste : je souhaite toujours toucher mon public, mais plus subtilement. Je désire le guider plus que le surprendre, sans abandonner l’idée d’un phénomène musical qui les emporte. Je veux toujours « raconter une histoire ».
« Raconter une histoire » : y aurait-il un élément narratif dans votre écriture ?
Oui, mais qui n’apparaît pas de manière aussi évidente. La forme de mes pièces et les diverses étapes de leur développement suivent souvent une intrigue. J’ai ainsi composé une série de pièces pour orchestre d’après des textes surréalistes de Michael Ende. J’ai également écrit un concerto pour accordéon et cordes d’après un conte pour adultes d’Hermann Hesse. Mais je n’annonce pas ces sources d’inspiration à mon public et ne précise pas qu’il s’agit d’une « illustration musicale » du texte : il me sert de point de départ, m’aide à élaborer la forme et à aller d’un point à un autre.
Diriez-vous que votre pays d’origine, la Slovénie, transparaît dans votre musique ? 
Quand une de mes œuvres est jouée en Allemagne, c’est une remarque qu’on me fait souvent : on me dit entendre les Balkans dans ma musique ! C’est sans doute vrai. Surtout à mes débuts. Quand on voyage loin de chez soi, on a probablement besoin de garder un lien avec ses racines, et c’est peut-être de cette manière que je l’ai préservé.
Votre catalogue témoigne d’un intérêt pour les formes concertantes…
C’est l’interaction de l’individu et de la société (le soliste et l’orchestre = concerto) qui m’intéresse, jusque dans les journées les plus dures, quand nous devons véritablement nous forcer pour aller nous confronter à l’autre et au réel– une expérience courante dans la vie de compositeur. Dans chacune de ces pièces plus ou moins concertantes, la ligne directrice impulsée par le soliste affecte soit la masse de l’orchestre et la manière dont il évolue, soit, à l’inverse, est influencée par les gestes de l’orchestre. Peut-être cela vient-il, en partie du moins, de mon goût pour le jazz, dans lequel l’attention est occupée tour à tour par chaque instrument. Dans l’improvisation, le soliste a toujours le loisir de développer de nouvelles idées – et l’ensemble se doit de réagir à ces nouvelles propositions. L’esthétique de ma musique a évolué depuis, mais j’ai toujours aimé la dynamique du « un contre tous ».

Régulièrement jouée par l’Ensemble intercontemporain, Nina Šenk présentera sa nouvelle œuvre pour ensemble, T.E.R.R.A II, pendant les Donaueschinger Musiktage, légendaire festival de création musicale. La jeune compositrice slovène éclaire les multiples dimensions, artistiques et mêmes écologiques, de cette commande.

Remarque : musique tonale (consonnante) ou atonale (dissonnante) ?

CONCLUSION : caractéristiques des musiques du concert

Dans ces 4 œuvres, il s’agit d’utiliser de nouvelles couleurs musicales (timbres) et des rythmes venues d’ailleurs (exotisme): musique d’Argentine, d’Italie, d’Amérique (jazz).

Remarques : transformations sonores

– Ravel fait une orchestration de sa Suite pour piano

– Martin Matalon fait  une Suite symphonique  de son Opéra

Les 3 compositeurs utilisent des formes de l’Epoque Baroque (XVIIe/XVIIIe) et de l’Epoque Classique (fin XVIIIe), comme la Suite (de danse) et  le Concerto avec soliste , en jouant des thèmes, pour mieux faire entendre des sonorités contemporaines  (XXIe siècle) dans un métissage de musique du monde anciennes et nouvelles.

C’est à l’époque Moderne (début XXe), avec les voyages facilités par les nouveaux moyens de transport, que l’on va découvrir et réutiliser de nouvelles musique « exotiques » et essayer de sortir de l’écriture classique. L’époque contemporaine (aujourd’hui) poursuit cette recherhe d’une musique savante mondialisée.

Epoques :

Baroque=>Classique=>Romantique=>Moderne=>Contemporaine
XVII/XVIIIefin XVIIIeXIXedébut XXe1950 à aujourd’hui

Lexique (de langage) :

– Musique Populaire ou Savante (voir en haut de cette page)

– Orchestration : distribution de différentes parties musicales aux instruments de l’orchestre (jouer avec les TIMBRES)

– Thème = motif musical qui revient (dans la musique SAVANTE), parfois avec des variations ou phrase musicale simple, qui se répète, qui se retient(musique savante)

– FORME : mouvements = parties, avec des thèmes, et des variations (concerto, ABC).

– Epoque  Moderne, début XXe :

  • refus du passé : se libère des conventions comme les règles à suivre (de l’époque Classique fin XVIIIe) et refus du lyrisme du XIXe (rejette les sentiments en musique).
  • influence du Jazz, du rythme et des Musiques Exotiques (Orient).
  • dissonance : collage de mélodies, polytonalité, Musique Atonale (sonne faux)
  • Néoclassicisme.

– Epoque contemporaine (à partir de 1950 « avec notre temps »): musique savante de notre époque, parfois atonale ou qui comporte des passages dissonants.

Musique atonale : musique qui sonne « faux » = dissonant. Musique qui n’est pas tonale, qui n’a pas de tonalité, pas de TONIQUE et de DOMINANTE (qui ne cherche plus à faire des accords « juste » = consonant)

Musique tonale : qui sonne « juste »,consonante . Basée autour d’un ton, d’une tonalité permettant de poser des « questions » (Ve degré = dominante = suspensif) et des «réponses » (Ier degré = tonique = conclusif).

– STYLES (= époques) : Classique (règles, thème), Romantique (sentiments), Moderne (se libère des conventions), Contemporain (atonale)

Peinture classique : la vie idéalisée, bien organisée ! Exemple : Nicolas Poussin, La Sainte famille avec saint Jean et sainte Elisabeth dans un paysage 1650

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en savoir plus sur le CLASSICISME : fiche-classicisme.pdf

Peinture moderne, années 1920 (début XXe) : Senecio de Paul Klee

Clementoni Senecio 1000 Piece Paul Klee Jigsaw Puzzle

Peinture contemporaine  (début XXIe) : performance peinture en live durant un concert: Enchevêtrement de Rodrigue Glombard

Sans titre. Série " NOUVEAU SOUFFLE " . Encre et collage sur papier. Format : 46 x 61 cm.

Préparation à l’évaluation : voir Sacoche

Rappel des époques et STYLES : Classique (règles), Romantique (sentiments), Moderne (se libère des conventions), Contemporain (atonale)